Toulouse, chambre des comparutions immédiates, août 2024 Les deux garçons d’une vingtaine d’années qui comparaissent dans le box jettent des regards anxieux vers leurs familles. Ils sont accusés d’avoir été complices d’un trafic de drogue pendant un mois. — Vous avez...
Protéger la société
Toulouse, chambre des comparutions immédiates, juillet 2024 Nicolas P. est accusé de violences volontaires sans interruption totale de travail (ITT) sur sa compagne et de menaces de mort réitérées. La présidente résume les faits : les policiers ont été appelés...
Crédit à la consommation
Esteban B., 23 ans, comparaît pour avoir vendu 60 € de cocaïne et en avoir détenu chez lui une centaine de grammes en récidive.
La vérité judiciaire
Aurélie Garand parle de la mort de son frère, Angelo, abattu en mars 2017 par le GIGN, et du combat qui a suivi pour obtenir la vérité et la justice. À la violence des forces de l’ordre a succédé la violence judiciaire.
Place nette
Toulouse, chambre des comparutions immédiates, mai 2024. Tarik M. comparaît pour détention de stupéfiants.
Hommage
Toulouse, chambre des comparutions immédiates, février 2024. Lilian Z. comparaît pour avoir passé des appels malveillants à sa compagne ainsi que pour outrage et rébellion.
Le blues, des champs de coton à la prison
Manu Baudez nous parle des rapports qu’entretiennent les musiques africaines-américaines avec l’esclavage et la prison aux États-Unis.
« Pour l’expert, pas de problème ! »
L’audience intervient après un renvoi ordonné le temps de recevoir des expertises psychiatriques. Des deux prévenu⋅es qui comparaissent, seul Farid R. est dans le box. Il arrive directement de la prison de Seysses, où il était en détention provisoire. Jennifer D., placée sous contrôle judiciaire en attendant le procès, est représentée par son avocate.
Pas de difficulté
Ardian S. comparaît pour avoir conduit sans permis en état d’ivresse et pour le port d’un pistolet d’alarme, le tout en récidive. Par l’intermédiaire de l’interprète, il demande un délai pour préparer sa défense.